Aimer, c'est bien, savoir aimer, c'est tout.
- 1848 -
François-René de Chateaubriand
0

La alegría de los hombres es una llama de leños de tristeza. Brota la llama, pero los leños están allí, y cuando se apaga la llama, quedan los leños, o el carbón o la ceniza, que es resto de los leños y no de la llama

Par François-René de Chateaubriand

El escritor original no es aquél que no imita a nadie, sino aquél a quien nadie puede imitar

Par François-René de Chateaubriand

El aburrimiento no puede existir donde quiera que haya una reunión de buenos amigos

Par François-René de Chateaubriand

Nuestras ilusiones no tienen límites; probamos mil veces la amargura del cáliz y, sin embargo, volvemos a arrimar nuestros labios a su borde

Par François-René de Chateaubriand

No hay nada en la vida tan bello, tan grato y tan grande como las cosas misteriosas

Par François-René de Chateaubriand

La justicia es el pan del pueblo; siempre esta hambriento de ella

Par François-René de Chateaubriand

Hay palabras que sólo deberían servir una vez

Par François-René de Chateaubriand

Tout mensonge répété devient une vérité ; on ne saurait avoir trop de mépris pour les opinions humaines !

Par François-René de Chateaubriand -1841

Les caractères exaltés dans les gens vulgaires sont insupportables.

Par François-René de Chateaubriand -1848

Rien n'est si aisé que d'apercevoir un ridicule ou un vice, et de s'en moquer.

Par François-René de Chateaubriand -1848

Le salaire n'est que l'esclavage prolongé.

Par François-René de Chateaubriand -1836

L'Amour est suivi des plus cruelles incertitudes : on doute toujours si l'on est aimé comme l'on aime.

Par François-René de Chateaubriand -1802

Les cœurs qui s'aiment s'entendent à demi-mot.

Par François-René de Chateaubriand -1802

Il suffit qu'une mère voit sourire son enfant pour être convaincue de la réalité d'une félicité suprême.

Par François-René de Chateaubriand -1802

Caresser la vertu sans être capable de l'aimer, c'est presser les deux belles mains d'une jeune femme dans les mains ridées de la vieillesse.

Par François-René de Chateaubriand -1848