Méfiez-vous des femmes qu'on épouse, car celles qui ne vous trompent pas vous le reprochent toute votre vie – comme si c'était de votre faute – alors que, le plus souvent, ce n'est même pas de la leur !

Par Sacha Guitry -1935

Si nous mettons l'infini dans l'Amour, ce n'est pas la faute des femmes.

Par Anatole France -1895

C'est une faute en Amour de n'être pas toujours sincère.

Par Roger de Bussy-Rabutin -1666

C'est pas d'ma faute à moi, si mon cœur tout en émoi, bat tout fou... bat tout doux... rien que pour toi !

Par Maxalexis -2009

Dans les affaires d'Amour, de l'innocence à la faute, il n'y a qu'un baiser.

Par Louis de Montchamp -1854

Les grands hommes font les grandes fautes ; tout ce qui vient d'eux porte l'empreinte de leur génie.

Par Jean-Étienne-Judith Forestier -1803

Le fils est innocent des fautes de son père.

Par François Ponsard -1853

Un mari, ou un amant, qui est trompé, l'est toujours par sa faute d'une façon ou d'une autre, depuis l'homme qui néglige sa femme ou la trompe, jusqu'à l'homme de quarante-cinq ans qui épouse une femme de vingt-cinq ans.

Par Paul Léautaud -1946

L'homme naît deux fois : c'est à la femme seule qu'il peut devoir sa seconde naissance, aussi bien que la première. La vie de l'âme après celle du corps. Malheur à qui ne rencontre pas sur sa route, à son entrée dans le monde, la sœur ou l'amie qui, en dehors même de l'Amour, doit lui faire comprendre combien est grave et beau, ce rôle de second et de témoin qui appartient à la femme, dans ce combat de tous les jours que l'homme doit livrer à la vie. Faute de cette lumière, la meilleure part de son cœur restera dans les ténèbres, car celui-là n'est que la moitié de lui-même qui ne voit dans la femme qu'un instrument plus ou moins perfectible de distraction ou de plaisir.

Par Pierre-Jules Stahl -1861

L'élégance, chez une jolie femme, c'est la moitié de sa beauté. Sa toilette est pleine d'intentions et dénuée de prétention ; elle croirait, j'en suis convaincu, commettre une faute grave envers elle-même si elle se rendait remarquable par quelque chose dans sa tenue ; elle sait qu'il ne s'agit pas d'être remarquée, mais bien d'être distinguée, qu'il faut ne ressembler à aucune autre, mais en restant soi.

Par Sully Prudhomme -1868