Les femmes sont à qui les prend et les garde !
- 1952 -
Jean Anouilh
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En algún lugar bajo la lluvia, siempre habrá un perro abandonado que me impedirá ser feliz

Par Jean Anouilh

Todas las guerras son santas, os desafío a que encontréis un beligerante que no crea tener el cielo de su parte

Par Jean Anouilh

Las preocupaciones acaban por comerse unas a otras, y al cabo de diez años, se da uno cuenta de que se sigue viviendo

Par Jean Anouilh

Lo terrible en cuanto a Dios, es que no se sabe nunca si es un truco del diablo

Par Jean Anouilh

It bothered me that whatever was waiting wasn't waiting for me

Par Jean Anouilh

There is love of course. And then there's life, its enemy.

Par Jean Anouilh

Le pain dont vivent les amants, c'est celui qu'on mange dans l'ombre, échappant à la loi des nombres, n'étant plus qu'un en étant deux.

Par Jean Anouilh -1962

Las ! que mon cœur pèse d'être sans Amour !

Par Jean Anouilh -1953

Ah ! l'incertain, le troublant premier jour. On se cherche, on se sent, on se devine, on ne se connaît pas encore et on sait pourtant déjà que cela durera toute la vie.

Par Jean Anouilh -1942

L'odeur de l'être qu'on aime, c'est l'odeur sucrée de sa mère, celle qui apporte la paix du soir, et celle qui endort les enfants.

Par Jean Anouilh -1972

C'est curieux les dames ! Il faut toujours se demander si on les a rendues heureuses.

Par Jean Anouilh -1972

Les femmes sont comme la soupe, il ne faut pas les laisser refroidir.

Par Jean Anouilh -1955

Les femmes sont ivres de pardon.

Par Jean Anouilh -1955