Apprends à parler en public : cela te sera moralement et intellectuellement profitable, sans compter le bien que tu pourras par-là faire à d'autres.
- 1851 -
Henri-Frédéric Amiel
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Rien ne s'oublie, l'âme dans le sommeil médite et rumine son passé.
Par Henri-Frédéric Amiel -1850
Les orages hebdomadaires ou mensuels ne servent à rien ni à personne. Ce qui me fait besoin, c'est la sécurité et l'égalité des rapports. Une amitié aussi agitée que l'Amour n'est pas un appui. Et l'Amour lui-même, s'il ne donne pas le repos, n'est guère attrayant.
Par Henri-Frédéric Amiel -1875
C'est perdre le repos que perdre son cœur, que de devenir la proie d'un attachement involontaire, d'avoir une affection malheureuse, de voir couler sa vie par une blessure du cœur.
Par Henri-Frédéric Amiel -1860
La course de mes jours est plus d'à trois quarts faite, il faut songer à prendre ma retraite.
Par Henri-Frédéric Amiel -1880
Un cœur joyeux, voilà le meilleur des soutiens ; le cœur triste fait ta fatigue !
Par Henri-Frédéric Amiel -1863
Quelle fatigue que de devoir supporter toute sa vie une compagnie qui nous est à charge !
Par Henri-Frédéric Amiel -1869
Tout ce qui n'est pas sincère est fatigant.
Par Henri-Frédéric Amiel -1880
J'ai réduit ma semaine au dimanche, mon année aux vacances, et ma vie à la paresse.
Par Henri-Frédéric Amiel -1875
La mollesse est un poison, la paresse un suicide.
Par Henri-Frédéric Amiel -1854
La mollesse est un poison, la paresse est un suicide.
Par Henri-Frédéric Amiel -1853
L'avenir reposant sur des chiffres, il faut te résigner à chiffrer tes revenus et dépenses.
Par Henri-Frédéric Amiel -1875
Vivre avec la santé perdue, dieux ! Quel supplice et quel ennui !
Par Henri-Frédéric Amiel -1875
La vie se perd à chercher son rythme et son bien-être, quand la santé est chancelante, rien n'y remédie.
Par Henri-Frédéric Amiel -1869
La santé est le maximum d'énergie de chaque partie compatible avec l'énergie du tout.