Aujourd'hui, le mariage est, avant tout, une sympathie de fortunes, une communion entre deux corps ; les âmes sympathisent et communient ensuite si elles peuvent. Or, comme on s'est uni par le côté matériel essentiellement divisible et diviseur, et non par le côté spirituel, qui seul unifie, on ne peut tarder longtemps à se séparer publiquement ou secrètement, et c'est ce qui a lieu dans quatre-vingt-dix ménages sur cent.