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Les idées que caressa notre jeunesse, et qui eurent les prémices de notre esprit, laissent en nous des traces ineffaçables. On peut avoir des passades, mais tôt ou tard on revient à ses premières Amours.

- 1865 -

Victor Cherbuliez

Le monde appartient à la discipline et aux disciplinés, et le secret de la discipline, c'est le travail.

By Victor Cherbuliez -1865

Comme l'avarice, la jalousie endurcit le cœur.

By Victor Cherbuliez -1913

Ne parlons pas trop haut de notre bonheur, certaines personnes sont jalouses des heureux.

By Victor Cherbuliez -1865

Amants, heureux amants. Soyez-vous l'un à l'autre un monde toujours beau, Toujours divers, toujours nouveau.

By Victor Cherbuliez -1880

Une femme ne doit jamais épouser un ami intime, parce que c'est une manière de le perdre, et les amis sont bons à garder.

By Victor Cherbuliez -1877

Une femme fait un mauvais marché en épousant un homme pour qui elle a de l'amitié; si elle y gagne un mari, elle y perd un ami.

By Victor Cherbuliez -1877

Il y a dans la femme qu'on épouse et qu'on croit connaître une inconnue qui n'attend que l'occasion de se montrer.

By Victor Cherbuliez -1887

Un homme qui peut passer une soirée à deux pas de la personne qu'il doit épouser sans que rien l'avertisse qu'elle est là est un déplorable fiancé.

By Victor Cherbuliez -1876

Il est bon qu'avant de se marier, un homme ait épuisé la liste de ses curiosités. Ce sont les curieux du lendemain qui font les mauvais maris.

By Victor Cherbuliez -1865

Le mariage est le plus absurde de tous les préjugés, le plus grand attentat à la liberté de l'homme et de la femme. Je le remplace par l'Amour libre.

By Victor Cherbuliez -1880

Mon mariage, c'est une des journées de ma vie que j'ai marquées à la craie.

By Victor Cherbuliez -1873

Le mariage n'est pas une invention bien miraculeuse, mais jusqu'à présent on n'a rien trouvé de mieux.

By Victor Cherbuliez -1865

Qui ne connaît pas les douceurs du mariage en ignore aussi les contraintes, les soucis, les tracasseries, et souvent les déceptions.

By Victor Cherbuliez -1865

Le mariage est une déplorable institution, un attentat à la liberté, et le meilleur moyen de manquer sa vie.

By Victor Cherbuliez -1889

Le mariage, ma chère, est une institution usée jusqu'à la corde. Dans dix ans d'ici, il n'en sera plus question, et il n'y aura plus que des femmes libres et des maris à l'essai.

By Victor Cherbuliez -1877

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Le monde appartient à la discipline et aux disciplinés, et le secret de la discipline, c'est le travail.

Comme l'avarice, la jalousie endurcit le cœur.

Ne parlons pas trop haut de notre bonheur, certaines personnes sont jalouses des heureux.

Amants, heureux amants. Soyez-vous l'un à l'autre un monde toujours beau, Toujours divers, toujours nouveau.

Une femme ne doit jamais épouser un ami intime, parce que c'est une manière de le perdre, et les amis sont bons à garder.

Une femme fait un mauvais marché en épousant un homme pour qui elle a de l'amitié; si elle y gagne un mari, elle y perd un ami.

Il y a dans la femme qu'on épouse et qu'on croit connaître une inconnue qui n'attend que l'occasion de se montrer.

Un homme qui peut passer une soirée à deux pas de la personne qu'il doit épouser sans que rien l'avertisse qu'elle est là est un déplorable fiancé.

Il est bon qu'avant de se marier, un homme ait épuisé la liste de ses curiosités. Ce sont les curieux du lendemain qui font les mauvais maris.

Le mariage est le plus absurde de tous les préjugés, le plus grand attentat à la liberté de l'homme et de la femme. Je le remplace par l'Amour libre.

Mon mariage, c'est une des journées de ma vie que j'ai marquées à la craie.

Le mariage n'est pas une invention bien miraculeuse, mais jusqu'à présent on n'a rien trouvé de mieux.

Qui ne connaît pas les douceurs du mariage en ignore aussi les contraintes, les soucis, les tracasseries, et souvent les déceptions.

Le mariage est une déplorable institution, un attentat à la liberté, et le meilleur moyen de manquer sa vie.

Le mariage, ma chère, est une institution usée jusqu'à la corde. Dans dix ans d'ici, il n'en sera plus question, et il n'y aura plus que des femmes libres et des maris à l'essai.