Un grand Amour, c'est la seule défense contre toutes les attaques diverses faites au coeur.
- 1848 -
Henri-Frédéric Amiel
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Je suis plein de défauts, je crains d'être un imbécile, une cervelle commune.
By Henri-Frédéric Amiel -1840
Vingt imbéciles valent ni vingt fois ni une fois un homme capable.
By Henri-Frédéric Amiel -1872
Il faut savoir supporter l'inexactitude et l'erreur, la sottise et la présomption.
By Henri-Frédéric Amiel -1871
Qu'est-ce donc que la bêtise ? L'incapacité de comprendre ce qu'on vous dit et ce qu'on doit dire, par conséquent de deviner ce qu'on vous tait et ce qu'on doit taire soi-même, l'obtusité de l'intelligence. Et que de degrés : niaiserie, stupidité, imbécillité, ineptie, idiotisme, dans cette infirmité constitutionnelle de l'entendement, il n'y en a pas un d'agréable, excepté pour les charlatans et les mystificateurs.
By Henri-Frédéric Amiel -1870
La bêtise aura toujours l'avantage du nombre.
By Henri-Frédéric Amiel -1872
À l'idiot, c'est l'oreille qui lui manque, et non pas la parole.
By Henri-Frédéric Amiel -1854
Chez l'idiot la sottise naturelle coule à pleins bords.
By Henri-Frédéric Amiel -1881
Tous les hommes se jugent les uns les autres : Tribunal d'idiots outrecuidants !
By Henri-Frédéric Amiel -1875
Le cerveau d'un idiot est un cerveau creux, un assembleur de nuages.
By Henri-Frédéric Amiel -1879
Si bête que soit un individu, il est un prodige, quand on le compare à un idiot.
By Henri-Frédéric Amiel -1876
L'idiot n'a point de cervelle, mais il a le croc venimeux.
By Henri-Frédéric Amiel -1881
Vouloir instruire le niais, c'est verser de l'eau dans un panier.
By Henri-Frédéric Amiel -1868
Ma voisine de table, grasse dinde, courte et lourde, avec un sourire niais est un échantillon peu flatteur de l'espèce humaine. Impossible de rien tirer de cette glaise : cela n'a ni esprit naturel, ni curiosité, ni instruction, ni observation ; cela est borné, charnu et bête. Il faudrait chatouiller cette grosse fille pour qu'elle s'intéressât à quelque chose.
By Henri-Frédéric Amiel -1872
Les niais ne découvrent aucune différence de mérite entre les hommes, et apprécient les Laridon autant que les César, les barbouilleurs d'enseigne autant que les Raphaël, eux-mêmes autant que le premier grand homme venu. Le génie, le talent, l'esprit, la capacité, une supériorité quelconque n'est reconnue que par ses pairs, ou par ceux qui ont de l'étoffe, mais non par les niais.
By Henri-Frédéric Amiel -1872
Ma voisine de table, grasse dinde, courte et lourde, avec un teint brun et un sourire niais, est un échantillon peu flatteur de l'espèce idiote. Impossible de rien tirer de cette glaise !