L'homme vulgaire ne doute de rien et ne se doute de rien.
- 1872 -
Henri-Frédéric Amiel
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Rien ne s'oublie, l'âme dans le sommeil médite et rumine son passé.
By Henri-Frédéric Amiel -1850
Les orages hebdomadaires ou mensuels ne servent à rien ni à personne. Ce qui me fait besoin, c'est la sécurité et l'égalité des rapports. Une amitié aussi agitée que l'Amour n'est pas un appui. Et l'Amour lui-même, s'il ne donne pas le repos, n'est guère attrayant.
By Henri-Frédéric Amiel -1875
C'est perdre le repos que perdre son cœur, que de devenir la proie d'un attachement involontaire, d'avoir une affection malheureuse, de voir couler sa vie par une blessure du cœur.
By Henri-Frédéric Amiel -1860
La course de mes jours est plus d'à trois quarts faite, il faut songer à prendre ma retraite.
By Henri-Frédéric Amiel -1880
Un cœur joyeux, voilà le meilleur des soutiens ; le cœur triste fait ta fatigue !
By Henri-Frédéric Amiel -1863
Quelle fatigue que de devoir supporter toute sa vie une compagnie qui nous est à charge !
By Henri-Frédéric Amiel -1869
Tout ce qui n'est pas sincère est fatigant.
By Henri-Frédéric Amiel -1880
J'ai réduit ma semaine au dimanche, mon année aux vacances, et ma vie à la paresse.
By Henri-Frédéric Amiel -1875
La mollesse est un poison, la paresse un suicide.
By Henri-Frédéric Amiel -1854
La mollesse est un poison, la paresse est un suicide.
By Henri-Frédéric Amiel -1853
L'avenir reposant sur des chiffres, il faut te résigner à chiffrer tes revenus et dépenses.
By Henri-Frédéric Amiel -1875
Vivre avec la santé perdue, dieux ! Quel supplice et quel ennui !
By Henri-Frédéric Amiel -1875
La vie se perd à chercher son rythme et son bien-être, quand la santé est chancelante, rien n'y remédie.
By Henri-Frédéric Amiel -1869
La santé est le maximum d'énergie de chaque partie compatible avec l'énergie du tout.