La tyrannie est souvent plus funeste aux souverains qu'aux peuples.
- 1720 -
Fénelon
0

Dès qu'une tromperie en attire une autre, il n'y a plus rien d'assuré parmi les hommes.

By Fénelon -1712

Les banqueroutes, exemptes de mauvaise foi, ne le sont presque jamais de témérité.

By Fénelon -1699

Toute la vie d'un fourbe est un continuel manquement de parole.

By Fénelon -1712

Un homme intrépide se laisse égorger plutôt que de promettre ce qu'il ne peut pas tenir.

By Fénelon -1712

Rien n'est plus dangereux, dans un État libre, que la corruption des femmes et la prodigalité de ceux qui aspirent à la tyrannie.

By Fénelon -1712

La joie de la véritable amitié est un baume qui adoucit le sang et qui rajeunit l'homme.

By Fénelon -1720

Les vrais amis sont ceux qui nous font remarquer nos fautes, et non ceux qui se taisent.

By Fénelon -1720

Une retraite honnête et tranquille, à l'abri des passions des hommes et de ses propres passions, est le seul état qui convienne à un vrai philosophe.

By Fénelon -1712

On cherche souvent la solitude par inquiétude, mais ceux qui sont accoutumés au fracas ne sauraient s'accoutumer à la retraite.

By Fénelon -1720

L'amitié est si jalouse et si délicate qu'un atome qui s'y mêle la blesse.

By Fénelon -1713

L'Amour-propre aime mieux les injures que l'oubli et le silence, il aime que l'on parle de lui.

By Fénelon -1720

Ne pas aimer, ce n'est pas vivre ; n'aimer que modérément, c'est languir plutôt que vivre.

By Fénelon -1720

Je ne hais point les hommes par inhumanité ; je ne les hais que malgré moi, parce qu'ils sont haïssables. C'est leur dépravation que je hais, et leurs personnes, parce qu'elles sont dépravées.

By Fénelon -1712

Donnez-moi des hommes simples, droits, mais en tout bons et pleins de justice ; je les aimerai, je ne les quitterai jamais, je les encenserai comme des dieux qui habitent sur la terre.

By Fénelon -1712
bool(false) Error: (null) [0] (severity 0) [(null)]